Quel bilan dressez-vous de ce premier gala d’arts martiaux mixtes (MMA) à Nantes ?
Il est extrêmement positif. On avait fait le pari avec la H Arena de proposer le premier gala de MMA professionnel de l’histoire de Nantes, le 7 septembre. Il s’avère que c’est un coup gagnant avec 4 750 places vendues. Pour une première soirée consacrée à la discipline, ça place le curseur assez haut. Nous sommes très contents de la manière dont la soirée s’est déroulée, mais aussi de l’accueil par le public, les médias, les sponsors locaux…
Entre les membres de l’organisation, la sécurité, les arbitres, les juges, les combattants, les coachs, les médecins (…), c’est un écosystème de près de 250 personnes qui a travaillé autour de l’événement.
Pourquoi avoir choisi Nantes pour accueillir le gala ?
D’abord parce que c’est une ville où il y a des combattants qui performent à l’échelle internationale, notamment Amin Ayoub et Malik Abdouraguimov. Ensuite, car c’est vraiment une terre de sports de combat. Enfin, car on cherche à proposer du MMA là où on ne l’attend pas. Nantes rentrait parfaitement dans ce cadre puisqu’aucun événement consacré à la discipline n’avait jamais eu lieu.
« On cherche à proposer du MMA là où on ne l’attend pas. Nantes rentrait parfaitement dans ce cadre. »
Quelles ont été les retombées de ce premier événement ?
Les 4 750 places vendues ont forcément généré des retombées pour l’économie locale, puisqu’une partie du public est venue de loin. L’événement a également été bénéfique à la ville en termes d’image, puisqu’elle a bénéficié d’un coup de projecteur sur le plan médiatique. En effet, l’évén…