Maître Coq poursuit sa saga nautique engagée en 2018 avec le skipper rochelais Yannick Bestaven, le vainqueur de la dernière édition. Cette année encore, l’entreprise vendéenne embarquera dans l’aventure ses trois mille salariés avec un Imoca, le bateau star de la course autour du monde en solitaire, à ses couleurs. « L’intérêt pour l’entreprise, c’est la marque employeur, l’engouement et l’état d’esprit qu’il peut y avoir en interne », indique Roland Tonarelli, directeur général de Maître Coq. « Le Vendée Globe est un événement fédérateur tant pour nos salariés que nos éleveurs. À l’approche de l’événement, la pression monte progressivement. »
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D’après le patron vendéen, la communication menée sur la voile donne l’opportunité de construire « une image sympathique ». « Je suis convaincu qu’elle nous aide à recruter. Les candidats nous disent que s’il y a une entreprise qui compte dans la région, c’est Maître Coq. » La société mobilisera quelque quatre-vingt-dix salariés pendant le Vendée Globe pour animer le stand du village. « Et le jour du départ, tous les salariés sont invités. »