Sur quoi porte l’appel d’offres que Sportcom a remporté pour les prochains JO ?
L’appel d’offres du Comité international olympique (CIO) que nous avons remporté concerne à la fois la mise à disposition des rings de boxe, leur installation, maintenance, démontage et leur recyclage.
Concrètement, nos rings seront installés sur différents sites : celui de Villepinte où auront lieu les combats éliminatoires, mais également à Roland-Garros, sur le court Philippe Chatrier, où deux rings de compétition accueilleront les demi-finales et finales du tournoi olympique.
Le site d’entraînement des boxeurs, situé au sein du gymnase Max Rousié à Paris, est lui aussi concerné : on doit y installer des rings d’entraînement et des sacs de frappe. Il en est de même pour les tournois qualificatifs organisés en février et mai à Milan et Bangkok : c’est Sportcom qui fournira les rings et tout l’équipement d’entraînement.
Que vont devenir ces rings après les JO ?
Ceux installés en France seront mis en vente à l’issue des jeux. Pour les clubs locaux, cela constituera l’occasion de s’équiper d’un ring qui aura servi aux JO. En revanche, pour ceux installés à l’étranger pour les tournois qualificatifs, le bon sens voudrait que les fédérations locales nous achètent ce matériel une fois les épreuves terminées.
« À nous de travailler pour que l’histoire se répète »
Est-ce une opération rentable pour l’entreprise ?
Comme pour toutes les épreuves des JO, le comité d’organisation exige des entreprises de leur fournir sans frais le matériel sportif. Certaines entreprises le donnent, d’autres le prêtent… Nous…