Depuis quand êtes-vous photographe pour le Grand Prix Meule Bleue ?
Je couvre l’événement depuis 2017. Avant, j’avais déjà participé au Grand Prix en 2015 et 2016, mais sur une mobylette. C’est mon papa (Jean-Philippe Sellier, dirigeant de Segasel, à Chantonnay, NDLR), ami de Philippe Maindron, qui m’a fait entrer dans la team Meule Bleue. Alors que j’étais encore étudiante et déjà passionnée par la photo, Philippe m’a donné ma chance, et m’a permis de me lancer en tant que photographe professionnelle.
Travaillez-vous en équipe sur l’événement ?
Oui, nous sommes un noyau de quatre photographes et avons l’habitude de travailler ensemble pour Maindron Production, ou encore pour le festival de Poupet. Nous nous connaissons par cœur, ce qui nous fait gagner du temps sur ce type…