Confondu avec la naïveté, l’optimisme est une attitude mentale aux pouvoirs longtemps sous-cotés. Et si l’optimisme n’était tout simplement pas observé depuis le bon prisme ? S’il n’était finalement, ni plus ni moins, que le prérequis à l’action, celui qui nous pousse à oser se lancer ? Une idée défendue par Catherine Testa, conférencière, auteur et cofondatrice du site Loptimisme.com. Invitée par l’association dédiée à l’entrepreneuriat féminin Déclic & Vous, elle a partagé sa thèse devant plus de 130 personnes venues l’écouter chez Up2Play aux Sables d’Olonne, le 23 novembre dernier. Compte rendu.
« Si croire à des scénarios qui ne sont pas encore validés, c’est être naïf, alors tous les chefs d’entreprise le sont, déclare Catherine Testa. Pour ma part, je parlerais plutôt d’optimisme, cette tendance à croire en un avenir positif. Quelle que soit la situation, nous pouvons choisir d’avoir confiance en notre capacité à la surmonter. L’optimisme permet simplement de voir les opportunités dans les défis. Il ne s’agit pas d’être aveugle pour autant, insiste-t-elle. On peut pratiquer un optimisme raisonnable et décider, par exemple, de se marier en connaissant les chiffres du divorce ou bien d’entrer sur un court de tennis en sachant qu’on a une chance sur deux de gagner le match ! »
S’interroger sur un futur positif est presque un acte de rébellion dans notre société. L’optimisme est surtout un outil indispensable que l’on doit nourrir si l’on veut pouvoir lui faire une place dans nos vies.
Elle poursuit : « Ce qui est important de comprendre à ce stade, c’est que la vie des optimistes est exactement la même que celle des autres. Nous vivons tous des mouvements faits de ruptures, de deuils… C’est la façon dont on…
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