Mise en place de dix engagements pour réduire les impacts environnementaux de l’édition 2024, solutions de mobilités douces pour accéder au village : le Vendée Globe poursuit sa stratégie en faveur de l’environnement afin de réduire son empreinte carbone et préserver les océans.
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Jeudi 10 octobre, l’organisation de la course au large et l’Agence de la transition écologique (Ademe) ont signé un partenariat. L’objectif ? Définir une méthode pour la réduction des impacts des grands événements sportifs en France en agissant sur différentes populations : sportifs, spectateurs, partenariats et sponsors. « Ce partenariat avec l’Ademe marque une étape essentielle pour le Vendée Globe, dans notre engagement à créer un événement toujours plus responsable et plus durable », explique Alain Leboeuf, président du Département et du Vendée Globe.

Alain Leboeuf, président du Vendée Globe et Sylvain Waserman, président-directeur général de l’Ademe. ADEME
Une nouvelle ère pour les grands événements sportifs
Après les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, « l’Ademe souhaite proposer une signature à la française des grands événements sportifs internationaux. Une méthodologie pour qu’ils soient plus durables et responsables », explique Sylvain Waserman, président-directeur général de l’Ademe.
Cette collaboration s’articulera autour de quatre axes : anticiper, réduire, inspirer et bâtir un héritage positif. Des travaux (financement et expertise) seront menés pour réduire l’impact environnemental des déplacements, de l’hébergement et de la restauration, des déchets produits et de l’énergie consommée. Pour cela, ils s’appuieront sur le retour d’expérience des dix engagements environnementaux pris pour cette édition 2024. Avec la volonté de rendre le prochain Vendée Globe, dans quatre ans, encore plus sobre et plus durable en matière environnementale.