Pour limiter son impact environnemental, la start-up nantaise incubée par l’IMT Atlantique récolte exclusivement ses matières premières auprès d’agriculteurs français.
« Le lupin et le pois chiche viennent de l’Ouest et la chicorée du Nord. Le lupin a des intérêts agronomiques, c’est une légumineuse dont la culture consomme très peu d’eau et d’engrais azotés, ce qui préserve les prochaines cultures », précise Margaux Laval, cofondatrice du projet avec Apolline Correia Lopes et Maïann Dautrey, trois ingénieures agroalimentaires passées par l’école nantaise Oniris.