L’attrait de l’Ouest et du littoral depuis le premier confinement se confirme, accompagné d’une raréfaction des biens et d’une hausse des prix depuis un an avoisinant les 10%. La hausse des prix de l’immobilier se poursuit ainsi en Loire-Atlantique, l’un des départements de la Bretagne historique les plus prisés avec le Morbihan et la région vannetaise. Le premier trimestre de cette année confirme la tendance. Et face à Nantes, Rennes n’est pas en reste. Le prix d’une maison ancienne y progresse de 10,5% pour un prix médian 1 de 420 000 € contre une progression de 8,3% à Nantes et un prix médian de 422 300 €.
« À Nantes, nous avons à faire à de plus en plus d’acheteurs originaires de la région parisienne. Ils passent souvent à l’acquisition après un an ou deux de location dans la métropole », note un agent immobilier. Les notaires constatent surtout que, si la part des acquéreurs de la région parisienne reste faible (8%), elle progresse en termes de budget, supérieur à celui des acquéreurs de Loire-Atlantique. Lorsqu’un habitant d’Île-de-France met 535 000 € pour une maison anc…