L’activité reste compliquée, car la plaie est toujours ouverte après les manifestations. Beaucoup ont eu du mal à s’en remettre. On est toujours en souffrance dans le centre-ville, notamment les grandes enseignes. Toutes les actions restent d’actualité, il faut continuer à développer une dynamique et à l’amplifier, notamment en allant chercher les consommateurs. Nantes peut attirer des gens à une heure de voiture », explique Olivier Dardé, qui précise : « Nous avons heureusement des aides différentes, dont 250 000 € de la Ville de Nantes qui nous a permis de mettre des enveloppes sur la mobilité, les animations, les événements et d’embaucher une personne p…