« Les investisseurs se penchent essentiellement sur des immeubles déjà commercialisés et ne veulent pas encore revenir sur des investissements en blanc, malgré la bonne santé des chiffres 2021. Les taux de rentabilité proposés sont toujours en dessous de 6 % en périphérie et de 5 % en centre-ville, mais pourraient remonter si l’immeuble proposé n’est pas totalement commercialisé », estime la directrice de Clerville qui voit dans la diversité du tissu économique de la métropole nantaise (services, numérique, centres d’appels, bancaire, informatique…) et la solidité de son bassin d’emploi, les raisons des résultats nantais.
« Nantes fait partie des villes en 2020 dont le marché tertiaire ne s’est pas écroulé avec -30 % seulement quand des villes se retrouvaient à -60 %. Notre volume global de transactions reste stable depuis des années. Le stock imm…