Couverture du journal du 01/10/2025 Le nouveau magazine

David Giraudeau, DG de La Mie Câline : « Le sponsoring est fédérateur et source de bonheur »

Entre La Mie Câline, boulanger et pâtissier industriel basé à Saint-Jean-de-Monts, et le mécénat sportif, c’est d’abord une histoire d’opportunités et de rencontres. C’est aussi la volonté de développer la notoriété de la marque et de son réseau de franchisés. C’est encore plus l’ambition de partager des moments de bonheur et de permettre à des sportifs de vivre des moments hors du commun. Du basket à la voile, via le Vendée Globe, David Giraudeau, directeur général de La Mie Câline, revient sur les raisons d’être de son mécénat sportif.

Vendée, La Mie Câline, Arnaud Boissières, Vendée Globe

La bateau d'Arnaud Boissières, sponsorisé par La Mie Câline. ©Christophe Favreau La Mie Câline

Comment et pourquoi La Mie Câline s’est-elle engagée dans le mécénat sportif il y a 25 ans ?

Par opportunité. Nous avons été sollicités par le club de basket de Saint-Jean-de-Monts, berceau de La Mie Câline, pour accompagner financièrement leur association. Rapidement, nous avons souhaité faire plus que du sponsoring local et associer notre réseau de franchisés, une trentaine de magasins à l’époque. Nous voulions faire rayonner La Mie Câline et développer la notoriété de l’enseigne là où nous étions présents en accompagnant l’organisation de tournois locaux.

Aujourd’hui, nous soutenons une centaine de tournois de basket U15 par an pour un montant total de 150 000 €. La Mie Câline Basket Go est ainsi le plus gros tournoi national chez les moins de 15 ans avec 10 000 participants, filles et garçons.

Pourquoi avoir souhaité vous investir dans le sponsoring voile en 2015 ?

En Vendée, toute entreprise en croissance regarde le Vendée Globe avec attention. Fleury Michon, Sodebo, PRB : il y a eu beaucoup d’expériences de sponsoring autour de cette course. La voile est un sport populaire. Forcément, cela donne envie d’être associé à une telle aventure, même si longtemps nous avons pensé que le Vendée Globe était financièrement inaccessible pour nous. En 2015, nous avons croisé la route d’Arnaud Boissières et la donne a changé. Il y a eu un véritable coup de foudre entre nous, comme une évidence.

Vendée, La MIe Câline, Arnaud Boissières, Vendée Globe.

Arnaud Boissières © Christophe Favreau La Mie Câline

Qu’est-ce qui vous a convaincu ?

À l’époque, l…