« Après dix-sept ans dans le textile à développer des produits pour Kenzo, DKNY, Baby Dior et Burberry (…), j’ai eu un cancer du sein à cinquante ans », rembobine la fondatrice. « J’ai été opérée et j’ai dû renouveler ma lingerie. Mais je n’ai pas réussi à trouver de modèles à la fois jolis, confortables et sans armature. »
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Poussée par de nombreux témoignages d’autres femmes aux besoins « seinguliers » qui en avaient marre « d’avoir à choisir entre maintien et esthétique », elle décide alors de bâtir une m…