Direction Saint-Paul-Mont-Penit et Le Girouard, deux communes vendéennes distantes de trente kilomètres environ. C’est ici qu’Api (soixante-douze points de vente en Nouvelle-Aquitaine et dans les Pays de la Loire) a ouvert les 29 et 30 août derniers deux nouvelles supérettes sur « un axe principal, au cœur du village », dixit Alex Grammatico, l’un des trois cofondateurs. D’une superficie de 40 m2 et conçues en bois par l’entreprise Rapido (Mayenne), elles sont accessibles en libre-service sept jours sur sept. On y trouve sept cents références (frais, surgelés…), « dont 10 % de bio et 70 % aux prix supermarché » ainsi que des produits en circuits courts issus de producteurs présents dans un rayon de cinquante kilomètres. À la clé : la création d’un emploi (le troisième à l’échelle de la Vendée).
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Alex Grammatico envisage d’ores et déjà l’ouverture d’une septième supérette en décembre à Saint-Vincent-sur-Graon en sachant que l’ambition est d’ouvrir cent vingt nouveaux magasins dans l’Ouest. « La Vendée représente un potentiel de vingt-cinq magasins. »