Avec ses nouveaux volets roulants solaires, commercialisés depuis ce printemps, K.Line répond à la demande des consommateurs et s’aligne sur la concurrence, déjà bien implantée sur le marché de la rénovation. « La menuiserie remplacée est en général non motorisée », souligne la société. Elle offre une « alternative qui ne nécessite pas de réalisation de travaux intérieurs. »
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En parallèle, l’entreprise repense sa gamme actuelle de portes pour diminuer ses émissions de gaz à effet de serre dans le cadre des Accords de Paris. « Cela passe par des produits écoconçus, dans lesquels la baisse du poids carbone est réduite au maximum », explique Céline Coutand, responsable communication. Ce développement profite également à l’isolation thermique, revue pour atteindre de meilleures performances. Les portes se distingueront ainsi par leur coefficient Ud qui mesure l’isolation thermique : « jusqu’à 0,66 W/m².K » contre 0,95 W/m².K aujourd’hui.
Et pour s’autosuffire face aux futurs enjeux d’approvisionnement de la matière première, le site K.Line abritera en 2025 sa fonderie, Coralium. Pensée pour produire 40 000 tonnes par an, elle couvrira les « besoins de l’entreprise », mais aussi, « ceux d’autres professionnels du bâtiment », indique le fabricant. Un circuit court vers l’usine d’extrusion.