Avec quelles ambitions la Jules Verne Manufacturing Academy (JVMA) a-t-elle organisé un premier salon dédié à l’industrie 4.0 ?
Quand vous allez chez Daher ou Airbus aujourd’hui, ils ont déjà un certain nombre d’équipements robotisés et travaillent avec la réalité augmentée. Mais pour beaucoup d’autres entreprises du territoire, ça n’est pas encore le cas. D’où l’idée d’organiser ce premier salon dédié à l’industrie du futur au sein de la JVMA (lire aussi l’encadré).
Nos ambitions étaient multiples. D’abord, offrir une vitrine à nos partenaires et fournisseurs de l’industrie du futur. Ensuite, que cette vitrine soit accessible au plus grand nombre : aux formateurs de centres techniques comme le Cetim (Centre technique des industries mécaniques) ou la Fab’Academy, aux enseignants et aux étudiants. Notre dernière cible était les industriels, en particulier ceux à la recherche d’inspiration et de découvertes sur comment se projeter dans leurs propres ateliers par rapport à ce que nous avons en démonstration ici à la JVMA.
Enfin, pour les visiteurs comme pour les exposants, ce premier salon était un moyen d’encourager les rencontres et de développer les réseaux respectifs. C’était aussi l’occasion de créer du lien entre le monde académique et le monde industriel. Notamment d’établir des passerelles avec nos utilisateurs (La Joliverie, l’Icam, l’Université de Nantes) qui viennent effectuer des travaux pratiques sur site.
Pourquoi cette thématique “usine et compétences à l’ère de l’industrie 4.0“ ?
L’usine 4.0, c’est notre cœur de métier à la J…