En Vendée, les ouvrages de l’ancienne usine de traitement des eaux usées de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (1) dataient de 1978 pour les plus anciens. Malgré une réhabilitation partielle en 2003, l’installation était sous le coup d’une non-conformité depuis 2015, n’ayant pas été conçue pour traiter le phosphore et l’azote. D’une capacité de 80 000 équivalents habitants, elle assurait le traitement des effluents de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et Saint-Hilaire-de-Riez (à proximité de Saint-Jean-de-Monts, NDLR) mais se trouvait en surcharge 10 % du temps, notamment en période estivale ou en cas de très fortes pluies.
C’est dans ce contexte que le Pays de Saint…