La spécificité de Tête Haute ? Proposer à des jeunes peu ou pas diplômés, des salariés en burn-out, des réfugiés politiques, des personnes en situation de handicap ou encore en fin de carrière une étape transitoire de 15 à 24 mois pour retrouver un emploi de manière durable. Aujourd’hui, la brasserie imaginée par Samuel Marzelière et son frère Fabien (désormais directeur général) emploie 24 salariés, dont 9 en insertion. Elle vient de clôturer l’année 2023 avec un chiffre d’affaires de 1,20 M€…
Tête Haute ou les artisans du brassage social
Avoir la tête haute et être fier de son parcours. Telle est la promesse de cette brasserie pas comme les autres installée au Cellier, qui accompagne des personnes vers l’emploi durable. Après cinq ans d’existence, elle voit plus grand et se lance dans deux nouveaux projets.

Située au Cellier, Tête Haute serait la première brasserie d’insertion à l’échelle nationale. © Alice Lemarin