Décembre 2022. Trois collectivités du Sud Vendée (Pays de Fontenay-Vendée, Vendée-Sèvre-Autise et Pays de la Châtaigneraie) unissaient leurs forces pour renforcer leur développement économique et touristique. Un enjeu de taille qui passe forcément par le foncier. Car pour inciter de nouvelles entreprises à s’implanter et permettre à celles déjà présentes de se développer, il faut avoir du terrain. Aujourd’hui, Vendée Grand Sud compte 52 zones d’activités (surface totale : 674 ha dont 82 ha disponibles pour Vendée-Sèvre Autise et Pays de Fontenay-Vendée). Ici comme dans le reste de l’Hexagone, les élus doivent prendre en compte la règle du Zéro artificialisation nette[1].
« Nous allons devoir réfléchir ensemble pour trouver des solutions concrètes et ne pas gaspiller notre foncier », analyse Ludovic Hocbon, président de Vendée Grand Sud, maire de Fontenay-le-Comte et président de son agglomération . « Nous devrons réussir à concilier la préservation de notre environnement et notre développement économique pour devenir un territoire d’avenir », complète Valentin Josse, président du Pays de la Châtaigneraie.
Pour cela, l’agence d’attractivité a choisi de se faire accompagner par Synopter , cabinet de conseil spécialisé dans le développement des zones d’activité. Lundi 13 novembre, Pierre-Cécil Brasseur, urbaniste-économiste et cofondateur de ce cabinet de conseil, répondait aux inquiétudes des entreprises sur ces enjeux de sobriété fo…