Un latte bien serré à la main, quelques mots échangés au comptoir, un œil sur l’horloge. Ce matin encore, le studio s’est animé à l’aube. À 7 h 30, les premiers sportifs de la journée entament leur séance de HIIT dans une salle baignée de lumière. Ici, l’effort ne se vit pas dans la douleur, mais dans l’élan commun.
À l’origine de Bolder, un projet mûri pendant quatre ans par Marion Raith. Ancienne volleyeuse au club de Chamalières, près de Clermont-Ferrand, elle n’a jamais retrouvé à Paris l’esprit de camaraderie qui faisait, pour elle, le sel des entraînements. Après une carrière dans le management commercial, elle s’installe à Nantes juste avant le Covid et amorce un virage. « J’avais envie de remettre du lien dans une pratique souvent solitaire », explique-t-elle.
Inspirée par des lieux comme La Montgolfière à Paris et forte de ses expérimentations menées avec le s…