Quelle est votre histoire personnelle avec le CJD ?
Un matin, alors que j’avais créé Nobilito depuis six ans, je rencontre dans le TGV Yann Trichard, alors président du CJD Nantes Atlantique. Il me dit que ce serait bien que je postule. J’étais alors en fin de parcours au Réseau Entre- prendre, j’avais goûté à l’intérêt de me former au métier de dirigeant et le CJD me promettait d’approfondir mes compétences. J’y suis rentré en 2013. J’avais alors 7 ou 8 collaborateurs et ressentais à la fois le besoin et l’envie d’accélérer le dévelop- pement de Nobilito.
Qu’avez-vous trouvé dans ce réseau ?
D’abord et avant tout l’amitié. C’est dû au fait que l’on partage avec les autres les mêmes questionnements et les mêmes emmerdes !
J’ai aussi continué à apprendre mon métier de dirigeant. Je me suis notamment beaucoup formé au management et à la gestion financière au départ. J’y ai aussi trouvé deux autres choses. D’abord, j’ai compris que pour être performant, il fallait se connaître et être bien dans sa peau. Or le CJD est l’un des réseaux les plus avancés en matière de développement personnel. Ensuite, ça m’a donné l’envie de m’engager pour…