Les filières de réemploi sont actuellement compliquées à mettre en œuvre car elles sont consommatrices de temps humain et complexes. De plus, pour ce qui concerne les batteries, il y a un aspect de dangerosité à prendre en compte (substances nocives, risques d’explosion ou départs de feux). L’enjeu est donc de confier un maximum de tâches à des systèmes automatisés pour permettre de pallier la pénurie de compétences à laquelle la filière est confrontée, mais également d’accélérer le lancement de ces filières de réemploi.
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