De 1,5 million d’habitants actuellement, la Loire-Atlantique devrait gagner 200 000 habitants en 27 ans (287 000 entre 2018 et 2050), une croissance en régression par rapport à la période 2008-2018. Dans tous les scénarios d’évolution envisagés par l’Insee, la population vieillit. La population cesserait de croître à partir de 2059.
Le seul élément de croissance démographique proviendrait de l’arrivée de nouveaux habitants extérieurs au département, c’est-à-dire le solde migratoire. Il « deviendrait l’unique moteur de croissance démographique à compter de 2044, année où le nombre de décès deviendrait supérieur au nombre de naissances. Ce solde naturel négatif s’expliquerait par le surcroît continu de décès lié à l’arrivée aux grands âges de la génération du baby-boom, cumulé à une baisse des naissances à partir de 204…