La meule et le Solex, quand est-ce que vous êtes tombé dedans ?
Je suis passionné de Solex depuis mes 14 ans et de vieilles mobylettes depuis mes 16 ans. J’ai toujours aimé avoir les mains dans le cambouis. En parallèle de mon activité principale de négociant indépendant dans l’imprimerie, j’ai commencé à en retaper avant le Covid, à la suite d’une vente aux enchères où j’ai acheté 25 Solex.
Comment avez-vous découvert le Grand Prix Meule Bleue ?
C’est un événement dont j’entendais parler depuis quelques années. J’ai eu de bons échos sur l’ambiance et ça a titillé ma curiosité. Quand j’ai découvert le pitch de la 10e édition, j’en ai parlé aux jeunes avec qui je bricole pour monter une équipe et vivre l’expérience de l’intérieu…