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Fondation actionnaire : concilier capitalisme et altruisme

La fondation actionnaire, modèle de gouvernance d’entreprise encore assez peu usité en France, a été mise en lumière dans le cadre du 17e sommet national des Napoléons [1], qui s’est tenu à La Baule du 28 juin au 1er juillet, autour notamment du témoignage de l’ancien dirigeant du groupe Cetih, Yann Rolland.

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Le 17e sommet national des Napoléons s’est tenu à La Baule du 28 juin au 1er juillet, sur le thème "Réparer". Parmi les conférenciers, l’ancien dirigeant du groupe Cetih, Yann Rolland est intervenu pour témoigner de la mise en place de la fondation actionnaire.

Une fondation actionnaire permet à une entreprise de « mener des actions d’intérêt général, dans le cadre d’un projet philanthropique et de porter des valeurs plus humanistes que de simples placements financiers. » Voici pour la définition portée par Virginie Seghers, co-fondatrice en 2015 de Prophil, société à mission parisienne dont l’objectif est la mise en place de nouveaux modèles économiques au service du bien commun, et notamment des modèles de transmission et de gouvernance des entreprises. La dirigeante était accompagnée pour témoigner de Yann Rolland, ancien président du groupe Cetih (spécialisé dans la rénovation et l’amélioration de l’habitat – 1500 salariés et 280 M€ de chiffre d’affaires), basé à Machecoul. Au moment de lâcher les rênes de…

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