En 2027, Malàkio prévoit d’entrer dans une phase d’industrialisation. Un projet imaginé selon Morgan Guyader, son cofondateur, à « 2 millions d’euros ». Il permettra au « petit » designer nantais, reconnu pour ses plateaux et objets de décoration réalisés à base de coquilles d’huîtres et de Saint-Jacques, de changer d’échelle.
Avec un chiffre d’affaires en croissance de 124 % pour 2025 et un nombre de commandes grandissant, l’entreprise contrôle en effet difficilement la demande. Rue de Pont-Aven, l’atelier se présente encore sous une image semi-artisanale.
Alors Morgan Guyader et son binôme Hugo Kermarrec travaillent à transposer ce savoir-faire, à le…
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