« Mon père était métallier, il avait travaillé dans une dizaine d’entreprises à Nantes avant de créer le 1er avril 1955 la sienne à la Chapelle-Heulin (Loire-Atlantique), là où mes parents s’étaient réfugiés pendant la guerre. Ils avaient tout perdu sous les bombardements », rembobine Louis Richard, qui a repris la barre au décès de son père en 1988 et passe désormais le relais à Thomas, ingénieur de formation, qui représente la troisième génération.
Pour les 70 ans de CMR, Louis Richard a dévoilé l’histoir…