Aujourd’hui, le site qui est opérationnel depuis mai dernier dispose de 4 000 m2 d’atelier jouxtant un magasin d’usine. Ici, la chaîne d’assemblage étalée sur 1 000 m2 dispose d’une capacité de production pouvant atteindre mille pièces par mois.
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Six personnes travaillent ici et la volonté est de recruter une dizaine de réparateurs supplémentaires dans l’année à venir, indique Laurent Filliaudeau, responsable des ventes. Il précise que Plenty France, dont les actionnaires sont chinois, français et belges, envisage de relocaliser « à court terme » une partie des composants (actuellement en provenance de Chine) en Europe. En parallèle, la société va se lancer dans la vente de vélos électriques reconditionnés alors que « ce marché émergent depuis trois ans est en plein essor (+30 % des ventes par an) ».
Dans cette optique, pour bien distinguer les deux activités, la société Rouelec verra le jour d’ici à fin 2024. À la clé : « La création d’une dizaine d’emplois d’ici à un an et demi. » Cette activité prendra place dans un entrepôt-magasin existant de 1 500 m2. Un projet dont l’investissement n’est pas communiqué.